Qui suis-je ?

 

marie-FB-300x214

Je suis une psychanalyste « intégrative ». Le mot paraît barbare, la pratique ne l’est pas. Il s’agit d’articuler, d' »intégrer », différentes approches pour prendre en compte, tout ensemble, corps, émotions, pensée et inconscient. Et du même coup, sortir des chapelles idéologiques. Question de bon sens, finalement.

La psychanalyse intégrative prend donc des formes bien différentes selon la personnalité du praticien. En ce qui me concerne, je me fonde surtout sur la psychothérapie par la parole, avec une grande attention portée au corps, tout aussi « parlant ». Je m’appuie sur les théories de la psychanalyse (inconscient, transfert…) autant que sur les principes de la psychologie humaniste (l’ « ici et maintenant », la non directivité des entretiens, la relation du corps et des émotions…). Le divan n’est donc pas un passage obligé.

Je me réfère au code déontologique de la SFPI (Société française de psychanalyse intégrative) qui inclut, entre autres, le respect de la personne et de sa liberté de pensée, l’interdit d’abus de pouvoir et d’influence, et la clarté des informations sur la durée, la fréquence et le tarif des séances. Il soumet le praticien à une stricte confidentialité.

J’ai été formée à la NFL, école de « psychanalyse intégrative » qui, comme le nom de cette discipline l’indique, refuse toute approche dogmatique et « intègre » différents courants, comme la bioénergie, la gestalt, l’analyse transactionnelle…

Je suis également formée à la psychogénéalogie, c’est à dire l’étude de l’arbre généalogique pour aborder et traiter des problématiques autant familiales que personnelles. Il s’agit d’un outil puissant, que j’utilise en consultation spécifique, ou que j’intègre au besoin dans une psychothérapie analytique.

Passionnée par Irvin Yalom, Donald Winnicott, Alice Miller, Karl Gustav Jung, Sigmund Freud, et encore quelques autres, je m’applique à ne suivre aucune théorie en particulier pour m’adapter aux besoins uniques de chaque patient, convaincue que, comme l’affirme Yalom, « c’est la relation qui soigne », et non pas les principes qui la sous-tendent.

                                                                                                   
Membre de la SFPI 
Membre de l’APG (Association des professionnels de Généapsy)
                                                                                                   

 

FORMATION 
-NFL (Psychanalyse intégrative)
http://www.nflpsy.fr/accueil1/index.html
-Généapsy (psychogénéalogie)
http://www.geneapsy.com/
-Séminaires psychanalytiques de Paris (Juan David Nasio)
-Université Paris 8 (psychologie)
-Université Lyon 2 (psychologie, cycle FPP) 

 

Ma formation est aussi faite d’un travail analytique personnel approfondi, indispensable à la fonction de psychanalyste. Une expérience intime, aussi capitale que l’apprentissage des concepts théoriques et de la technique.

 

 

 

marie-FB-300x214

Psychanalyste et psychogénéalogiste, ma pratique se fonde sur la psychothérapie par la parole, avec une grande attention portée au corps, tout aussi « parlant ». Je m’appuie sur les théories de la psychanalyse autant que sur les techniques de psychologie humaniste, qui articulent corps, émotions et pensée

 

« L’important n’est pas ce qu’on a fait de nous, mais ce que nous faisons nous-même de ce qu’on a fait de nous. »            

Jean-Paul Sartre 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo d’en-tête  :  Jean-Denis Robert http://www.jeandenisrobert.com/  

Qu’est-ce que la psychogénéalogie ?

 

Family-Tree-Norman-Rockwell-1959-Stockbridge-Ma-The-Norman-Rockwell-Museum-600x666La psychogénéalogie propose de donner sens à notre histoire personnelle à partir de l’arbre généalogique et de l’histoire familiale.

Elle décrypte les noeuds qui nous étreignent, les conduites et évènements répétitifs qui nous gâchent la vie, le système de valeurs qui nous fonde et qui, parfois, nous enferme.

Nous ne sommes pas seulement l’enfant d’un père et d’une mère, mais le descendant de générations d’êtres humains dont les histoires, les traumatismes, les secrets, ou les trop belles légendes, se perpétuent au fil du temps. Nous héritons d’un système de croyances et de comportements qui déterminent de nombreux aspects de notre existence (choix d’un métier, d’un conjoint…).

Le travail sur l’arbre 
permet d’identifier les transmissions inconscientes, les scénarios qui se rejouent, les loyautés familiales, la place qui nous a été assignée, ou encore les projections dont nous faisons l’objet.

La psychogénéalogie nous fait comprendre les liens subtils qui unissent nos ancêtres entre eux, parfois à des générations de distance. Elle facilite des prises de conscience qui nous font regarder différemment les processus de transmission qui influencent nos vies actuelles.

La quête des origines est une quête de soi-même. Faire parler la mémoire des ancêtres peut apporter de précieux éléments de réponse aux questions fondamentales que nous nous posons.